Bonjour, J’ai 56 ans. Il y a 1 an environ, ayant des démangeaisons au niveau du haut de la vulve , je suis allée voir la gyneco. qui me dit que j’ai un lichen scléreux. Elle me marque 2 pommades Locoid et Colpotrophyne que je mets 2 fois par semaine en alternant. Apparemment tout va bien, je n’ai plus de prurit. Le problème qui me pourri la vie c’est que j’ai le clitoris encapuchonné et je ne ressens donc plus aucun plaisir sexuel .
Je souhaite me faire opérer pour enlever ce repli sur mon clitoris. Est ce possible à mon age ? Existe t il un spécialiste sur Toulouse ?
Par : Alice
Par : gyne30
je ne sais pas alice s’il existe un spécialiste pour cela
je pense que oui, vous le trouverez en service dermatologie de votre CHU
Par : Florence
Bonjour, j’ai 58 ans et je souffre depuis 2 ans de pbs au niveau de la vulve, rougeurs, lésions, fissures. Ma gyneco a pensé à une vulvodynie et m’a prescrit quelques pommades sans succès. Je précise que les relations sexuelles sont très rares voire impossibles. N’étant pas satisfaite du résultat alors que la gyneco se faisait aider en consultation par une dermato voisine. Je suis retournée voir mon ancienne gyneco qui a diagnostiqué un LSA sans biopsie. prescription de dermoval en alternance avec trophycrème. le pb c ‘est que l’amélioration ne dure jamais plus que quelques jours et je ne sais plus qui aller voir et que faire. Là, je suis en méga crise, j’ai des sensations de brulures et de démangeaisons toute la journée. Pouvez-vous me conseiller ?
Par : gyne30
non florence je ne peux guère vous aider car il faudrait que je vous examine
je pense que vous n’avez pas qu’un LSA mais aussi une forme de dystrophie vulvaire liée à une névralgie pudendale
il faut donc un tt de fond par colpotrophine ovules voire même par livial juste quelques mois , aller consulter un ostéopathe, vous débarrasser de tout pantalon contenant de l’elasthane , ne porter que des slips 100 % coton à faire bouillir
OK pour dermoval , trophicrème je suis moins fan , je lui préfère le baume lipîkar
Par : Edmée
Vous avez bien raison, je vais perdre cette habitude néfaste. Encore merci pour vos conseils. Je suis très heureuse d’avoir pu vous parler, et de votre blog qui, je le pense, est un précieux guide pour beaucoup de femmes.
Par : Florence
Merci pour votre réponse. Je précise également que je souffre de cystalgie, Est-ce lié et que j’ai eu une fracture du sacrum lorsque j’avais 16 ans et depuis j’ai pas mal de problèmes dans cette région. Je vois mon osthéo ce soir et lui en parle et essaie de voir ma gyneco en urgence car je n’ai quasiment pas dormi à cause des brûlures. je n’ose plus mettre un seul produit car les brulûres sont intenses.
Question : compte-tenu que je traine ces pbs cystalgie et lsa depuis des années sans trouver un interlocuteur médical qui arrive à me soulager. J’habite en région parisienne, auriez-vous un médecin à me conseiller ?
Par : Mimi
Bonjour,
Suite à une consultation en dermatologie, j’apprends ce jour que je souffre d’un lichen scléreux vulvaire. Vous faites un travail formidable d’information que le médecin, si compétent soit-il, n’assume pas toujours… En effet, la dermatologue m’ayant fait d’autres soins était un peu en retard sur son planning… Elle a néanmoins pris le temps de m’ausculter. J’ai juste entendu « Vous avez un lichen… » avec confirmation d’une quasi disparition des petites lèvres. Je vous suis donc très reconnaissante pour l’information complète que vous transmettez… Moi qui ai tendance à relativiser mes douleurs…
Un grand merci à vous !
Par : gebru
Bonjour – depuis des années je suis traitée au Dermoval par ma gynéco pour ce qu’elle pense être une LSA (coupures au niveau de la fourchette et au clitoris). Le Dermoval ne m’apporte plus qu’une amélioration passagère, car les coupures se rouvrent systématiquement aux rapports. TRES TRES DOULOUREUX.
Connaissez vous sur le Nord un dermato ou gynéco spécialisé dans ce problème car ma gynéco avoue sont impuissance. un grand merci
Par : gyne30
non je ne connais personne gebru
Par : Edmée
Vous avez bien raison, je vais perdre cette habitude néfaste. Encore merci pour vos conseils. Je suis très heureuse d’avoir pu vous parler, et de votre blog qui, je le pense, est un précieux guide pour beaucoup de femmes.
Par : Ghyslaine
Bonsoir Miss,
Qui peut faire la différence entre une sécheresse vulvo-vaginale et un LSA ?
J’ai un RV prochainement chez une dermatologue pour un problème de peau, puis-je lui parler de cette sécheresse surtout vulvaire qui à une époque m’a provoqué des fissures ?
Merci
Par : gyne30
un dermato sait faire le diagnostic de LSA ghyslaine
Par : Ghys
Bonjour Miss,
Je suis inquiète pour ma fille, âgée de 25 ans, qui depuis ses premiers rapports sexuels a des douleurs à la pénétration, avec brûlures, qui ces derniers temps semblent s’améliorer, en tout cas au niveau brûlures, par contre à l’entrée du vagin, il y a bien douleurs persistantes et récurrentes. En discutant avec elle, sans trop entrer dans les détails, car je suis sa mère, j’ai bien compris qu’elle avait des problèmes avec son clitoris, qui lui semble insensible et inexistant !!!! Au départ, on pensait à une vestibulite, mais maintenant, je ne sais plus quoi penser, ni elle, qui se sent très mal, il lui semble qu’elle est anormale, et qu’elle ne connaîtra jamais une sexualité normale et épanouie…
Nous allons consulter un spécialiste (gynéco qui s’intéresse aux problèmes de vulve) en janvier, et j’espère qu’elle aura une réponse, à un problème qui est là depuis ses premiers rapports, et qui ne s’est jamais arrangé.
Avez-vous une idée ? même si je comprends bien qu’à distance, sans examiner la personne, vous ne pouvez pas dire grand chose…
Je suis moi-même en suspicion de LSA
Merci MiSS
Par : gyne30
je pense que c’est psychologique et pas du tout physique et que votre fille est mal à l’aise avec son corps donc avec sa sexualité
cela m’étonnerait que l’on trouve un clitoris encapuchonné par un lichen à son âge mais bon, qui sait ? la gynécologue donnera son avis de spécialiste ghys
vous avez fait du mieux que vous pouviez maintenant c’est aux différents spécialistes de gérer le problème des difficultés sexuelles de votre fille
Par : Ghys
Merci Miss,
C’est ce que j’ai pensé au départ, en effet, que ça puisse être psychologique.
C’est bien possible.
Comme vous dites j’ai fait de mon mieux…
Par : Edmée
Vous avez bien raison, je vais perdre cette habitude néfaste. Encore merci pour vos conseils. Je suis très heureuse d’avoir pu vous parler, et de votre blog qui, je le pense, est un précieux guide pour beaucoup de femmes.
Par : Lili
Bonsoir,
Alors voilà j’ai 24 ans et depuis plusieurs mois, les rapports sont devenus douloureux, ça brûlait puis j’ai dû développer des mycoses à répétition. Ensuite les rapports piquaient à chaque fois. Je me rends donc plusieurs fois chez le gynécologue (3 différentes), elles ne diagnostiquent rien… jusqu’à ce que je retourne chez l’une d’elle qui remarque 2 fissures (dont une qu’elle avait remarqué à mon premier rdv mais qu’elle n’avait pas relevé). Ces deux fissures sont les causes de mes douleurs, l’une juste à l’entrée du vagin, ce qui me fait très mal à la pénétration et l’autre pas très loin mais plus sur le côté d’une des lèvres.
Je ressens aussi au toucher, entre mon vagin et l’anus (Est-ce le périnée??) que ma peau est dure au toucher… ce que je ressentais sûrement pas auparavant. Alors je m’interroge, Est-ce grave? Qu’Est-ce que ça peut bien être?
Les fissures se guériront-elles d’après vous?
On m’avait prescrit du madécassol, de la cicatridine, de la colpotrophine mais rien n’y a fait… les fissures sont toujours là et la douleur aussi… J’ai aussi quelques légères démangeaisons plus particulièrement au niveau de l’une de mes fissures.
Je ne sais pas de quoi je souffre, ni si c’est « grave » et si je guérirai un jour…
J’ai même lu sur certains forums que certaines femmes ayant eu des fissures vaginales ont finalement découvert par leur gynécologue et dermatologue qu’elles avaient une sorte d’herpès qui ne s’était pas développé, alors je m’interroge (je ne vois pas comment je l’aurais contracté étant donné que je n’ai toujours eu qu’un seul et unique partenaire sexuel en qui j’ai entièrement confiance donc pas de doute sur sa fidélité et il n’a pas d’herpès et n’en a pas eu).
Merci d’avance pour l’aide que vous voudrez bien m’apporter
Bien à vous,
Lili
Par : gyne30
je ne crois pas du tout à de l’herpès
ce peut être une mycose chronique à traiter avec beagyne un cp par semaine pendant un an
ce peut être une overdose de pilule
si béagyne ne réussit pas à vous soulager en deux mois , il faudra arrêter la pilule lili
Par : gyne30
lili vous testez beagyne sur ordonnance sans arrêter la pilule
si votre dyspareunie est liée à une mycose chronique , vous serez soulagée en trois mois
si échec au bout de trois mois, on arrête béagyne, le diagnostic n’est pas le bon, il s’agit d’une déshydratation vaginale et il faut cesser la pilule
Par : Martine
Bonjour, je suis dans ma 70ème année, donc beaucoup plus âgée que les autres femmes participant à ce forum. Veuve depuis 2005, je n’ai plus de relations sexuelles. Mon lichen vulvaire (décrit comme lichen scléro atrophique) a été diagnostiqué en juillet dernier par une dermato en milieu hospitalier.
Tout avait commencé il y a une vingtaine d’années avec un vitiligo et puis 15 ans plus tard par l’apparition d’une plaque de peau parcheminée sur une épaule à l’emplacement d’une tache de vitiligo, jusque là je n’avais pas vraiment consulté, excepté pour le diagnostique du vitiligo.
2014 a été le début d’une période traumatisante avec la disparition à un mois d’intervalle de 2 amies chères. De fortes démangeaisons au niveau du clitoris sont apparues peu après et de nouvelles plaques sur les seins et le ventre. Ma généraliste m’a prescrit une crème à la cortisone sans effet.
Lorsque j’ai enfin obtenu mon 1er rendez-vous avec la spécialiste, en juillet 2015, les démangeaisons vulvaires étaient accompagnées d’un ulcère très douloureux. Le médecin m‘a fait une biopsie et m’a prescrit du Protopic pour le corps et Clarelux au niveau génital, plus un traitement à la cortisone à faible dose. Lors du rendez-vous suivant en septembre je suis passée au Prednisone à 60 mg pendant 3 semaines, et je diminue progressivement de 10 mg en 10 mg depuis 4 mois. Ce traitement qui m’a énormément perturbée, la liste des effets secondaires étant trop longue pour l’énumérer. Maintenant que je suis sur la fin de la cortisone, les démangeaisons autour de l’anus sont revenues et je suis complètement épuisée. Pensez-vous que je puisse raisonnablement refuser de continuer dans cette voie ? Le lichen me semblant infiniment plus supportable que le traitement.